« Quand je prends conscience de ma médiocrité, je me demande ce que je serai devenu si des êtres de qualité n’avaient pas croisé ma route, si je n’avais pas lu des centaines de livres qui m’ont permis de me dégager de mon étroitesse, de m’ouvrir, de me donner les moyens de la réflexion.
Avoir accès à la culture, à l’art, quelle chance, quel fantastique privilège. »
Charles Juliets
« Accueils »
Journal IV
1982 – 1988